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Tsutsuhh Till The Tears !
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Tsutsuhh Till The Tears !

VIP-Blog de natsuzu
  • 89 articles publiés
  • 194 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 21/04/2008 11:20
    Modifié : 31/01/2010 08:43

    Fille (12 ans)
    Origine : Si je le savais... !
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    [ Poèmes ou textes quelconques ] [ Fan [art/resum/present/fic] ] [ Racontage de vie [trucs inutiles et incompréhensibles] ]

    [Wakfu] Od4S : Chap7+Epi.

    21/04/2008 20:26

    [Wakfu] Od4S : Chap7+Epi.


    Fan Class [BG] de Wakfu. L'Ordre des Quatre Saisons. Chapitre 7 : Démonstration.

    Un vaste terrain s'étaler devant leurs yeux. Épées, bâtons, arcs, marteaux, pelles, baguettes, chopines, nombreux jeux de cartes et autres armes étranges étaient installés au abords de toutes sortes de zone d'entraînement. Ce trouvant à la cime d'une forêt étrangère, les arbres faisaient obstacles et étaient censés endurés les entraînement, les rendants plus intensifs. De multiples pantin de combats et cibles mouvantes s'éparpiller sur l'immense terre.
    – Alors, "descendants des Quatre", montrez moi ce que vous savez faire !
    – Bien, acquiescèrent-ils, en choeur.
    Phanie prit les avants et s'engagea sur le terrain, s'emparant d'un des bâtons d'entraînements du bord de la piste. Hâtivement, au simple bâton elle déchiqueta un, deux... trois cible mouvantes au corps à corps. Continua sa démonstration touchant du doigt deux branches mortes entrelacés leurs redonnants couleurs et forces et envoya ses branches fusant l'air et touchant en plein coeur un des plus reculés des pantins. Iop, impressionné, détourna enfin son attention et la rattacha à au jeune Edo, lui dirigeant, il se le rappel : l'Été. Il illumina un arbre noir et lui redonna vie et feuille verte, le déplaçant à son aise sur le terrain, enfonçant dans le sol quiconque s'imposait à lui. La plus petite ; Hayate, esquiva de peu l'arbre enchanté et le frappa de son propre bâton. L'arbre agonisant du pouvoir de l'hiver : mourut pour la énième fois. Alex apparut dans l'ombre se faisant poursuivre par un arbre revigoré à la façon Phanie, se retourna et dans un choc d'onde l'arbre fana tel un arbre en Automne.
    – Woh, woh ! Arrêtez tout ! Vous ne pouvez pas me servir.
    – Et pourquoi ? répliqua Edo, un sourire malin aux lèvre.
    – ... Sa m'énerve de dire sa mais, ... Vous êtes "trop" puissant pour cela.
    – Comment ça ?! s'écria la garçonne qui se précipité vers Iop.
    – Cette légende est donc près... permettez-moi... Il faut que j'en parle aux autres.
    – Bien sûr qu'elle est vrai ! Prenez votre temps.


            Epilogue I : Demi - Dieux.

    Pour en finir, Iop conclu avec les autres Dieux, que l'Ordre devait renaître, afin d'avoir un millième de chance de plus pour vaincre Ogrest. Pour cela, une seule solution s'offrait à eux : Les rendre maître d'eux-même, des Demi-Dieux. Ils firent ainsi, et l'Ordre sortit de leurs ruines, le conte devînt la légende. La légende devînt la réalité. La réalité devînt irréel. Un culte pour l'Ordre se fit, des disciples y prièrent. Edo, Phanie, Alexandra et Hayate : Quatre nouveaux Demi-Dieux, une nouvelle Classe.


    Wakfu by Ankama.
    Text by Natsuzu.
    Illus by Shirotsuki.








    [Wakfu] Od4S : Epilogue 2 : Edo.

    21/04/2008 20:34

    [Wakfu] Od4S : Epilogue 2 : Edo.


    Il fut un temps où le légendaire Ordre des Quatre Saisons n'était qu'oublié, un temps où ses descendants n'en savaient absolument rien, un temps où ils ne s'étaient encore jamais croisés. N'étant seulement que de pauvres enfants martyrisé par leur différence tout aussi bien physiquement que mentalement, les Quatre étaient perdus ... abandonnés.

    Découpure I : Cerné.

    Une rue pavé, vide et sinistre, étroitement encerclé de murs. Le clair de lune répercutant sa lumière sur chaque flaque d'eau impure, de miteuses caisses de bois déchiquetées ou même brûlées s'étaler à leurs abords. De violents cris retentirent au loin. Un cri terrorisant, ou plutôt... terrorisé. Un son pratiquement sourd, résonnant comme une détonation. Brusquement un gamin aux piètres habilles, sortant d'une bifurcation fut pris au dépourvu par les embûches, le détrônant de sa hauteur jusqu'à l'abattre sur le sol, le frappant de plein fouet. Il se releva, trébuchant une fois de plus et continua sa course, essoufflé. Jetant régulièrement des regards derrière lui, Edo aperçu deux personnes en noirs, le poursuivant à une allure inimaginable. Les hurlements s'étaient arrêtés, laissant place à leurs bruyantes, haletantes respirations. Une main de fer de referma sèchement sur le bras du blondiné.

    – Lâchez-moi ! hurla l'enfant, abattu de cette course acharnée.

    Les dit ennemis ricanèrent. Ils lui affligèrent une volée, le contraignant à sombré dans ses rêves, évanoui. Un temps indéfini distança l'attaque et son réveil. Il ouvrit les yeux, papillotants, une forte lumière inondant l'immense pièce de métal où il se trouvé. Des murs sans ouvertures renforcés, sans la moindre trace de nature, seulement du métal. Du métal raisonnant à en faire mal sous le poids des larmes qu'Edo lâcher avec entrain. Edo se releva de sa petite hauteur enfantine, plissant les yeux pour voir l'autre bout de la salle, il avait était jeté au milieu de celle-ci, quelques uns de ses membres le démangeaient douloureusement. Titubant un instant, il reprit conscience « Non... Ce n'est pas possible, pas enfermé ! ».

    – Dis-nous, monstre, qu'elle est ta vrai nature ?

    Ces paroles résonnèrent bruyamment dans l'enfer qu'était cette cage. Venant de nulle part, déchirant ses tympans, l'étourdissant. « De quoi parle-t-il, qu'elle est cette voix... ».

    – Je comprends pas... Expliquez-moi ! gueula-t-il de sa voix d'enfant.
    – Ah ah, quel sot ! Nous ne sommes pas bornés ! Nous savons... Oui, nous savons que tu n'es pas des nôtre. Je te repose... pour la dernière fois, la question qui t'es fatale : Qu'elle est ta vrai nature ? résonna la lourde voix assourdissante, un ton plus énervé.
    – Je suis désolé ! Hurla Edo, plus fort qu'il ne l'aurait jamais imaginé, Je ne vois absolument pas de quoi vous parlez !
    – Nous ne plaisantons pas. Si tu ne réponds pas à la question, nous te bannirons. Je te laisse une unique et dernière chance de vivre, parles gamin !
    – Je... je ne sais pas... l'enfant martyrisé de recroquevilla sur lui même, prenant ses genoux dans ses bras, les larmes coulants à flots, le stresse, la peur... la haine, grandissant en lui.
    – Bien. Je te dis adieux, alors, dit-il, le ton calme mais pesant. Corrigé-le, qu'il ne puisse plus être maître d'une telle insolence.

    Découpure II : Excès.

    Les murs s'ouvrirent en un bruit plus assourdissant encore que les cris du jeune Edo. Des dizaines d'hommes du même uniforme que les deux poursuivants de toutes les classes apparurent dans l'ouverture. Le gamin bascula, d'avant en arrière, dans un signe de détresse, ses larmes tachants ses miteux accoutrements. Les hommes tenant chacun en main une longue coutelas à dents à la garde de bois. Le premier d'entre-eux s'approchait du dépressif et ricana.

    – C'est ce gamin que l'on doit éliminé ?! Ha ha ! Hé les gars, j'me l'fait, laissez-le moi !

    La troupe à l'unanimité se moqua du garnement aux poings serrés. Sans en ajouté plus, l'assassin joua avec sa coutelas et la dirigea lentement vers le mince cou du dit monstre. La relança vers l'arrière et l'abattit soudainement vers le garçon. Un bruit sourd se fit entendre, suivait d'un cri brûlant de douleur. Les hommes rigolant encore. La scène était une vrai boucherie : l'adulte était à terre, une flaque de sang s'étalait autour de lui, ses yeux vides d'expression. Sa gorge taillée, ses mains noires de charbon. L'enfant debout, tête baissé, munit de la coutelas et de deux yeux bleus flamboyants.

    – Quoi ?! Qu'es-ce qui s'est passé ?! s'exclama un des mercenaires de l'avant. Edo tourna son regard vers lui, à en faire peur.
    – J'ai "brûlé" le manche de son arme, il lâcha, je la reprit et lui trancha la gorge, murmura-t-il, d'un air sombre.

    Les guerriers reculèrent, affichant une étrange expression. S'armèrent et bondir. Edo s'engagea sans un mot ni cri.

    Il se dirigea vers une ouverture, passa une jambe, et se retourna, visionnant le massacre bref mais sanglant. L'ancienne salle grise métallisée, vide, s'était métamorphosée : Un rouge écarlate couvrait la plus part des parcelles de métal, des corps déchiqueter s'étalaient sur les murs et sol, des coutelas éparpillées... Une vision d'horreur. Le gamin détourna sèchement le regard, laissant échappé quelques larmes. Il couvrit son visage martyr de ses mains souillées. Et passa de l'autre côté, fuyant cette vision.  


    Fin [pas trop tôt...]

    Wakfu by Ankama.
    Text by Natsuzu.
    Illus by Shirotsuki.







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